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About

© Greg Mirzoyan

 

Photographer & Director
karesleroy@gmail.com / @karesleroy

* Represented by Amu Darya
amudaryaproject@gmail.com

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Photographe & Réalisateur
karesleroy@gmail.com / @karesleroy

* Représenté par Amu Darya 
amudaryaproject@gmail.com

 


Border checkpoint of Sultan Ishkashim. Registration office. His official photograph is required by the authorities of the Badakhchan Province | Afghanistan / Poste frontière de Sultan Ishkashim. Bureau des enregistrements. Sa photo officielle est réclamée par les autorités de la province du Badakhchan | Afghanistan

[En]
Kares Le Roy has spent the past ten years travelling through Asia. By foot, horse, motorbike, at the back of a bus or in his own vehicle, he has traversed the most isolated places and photographed some of the least-known peoples of the East. He now spends more time in Persia and Central Asia than in his native country. This region has become his favourite. At 38 years old, he already has several major projects to his name: three books, a short film and two documentaries. His collaborations with Médecins Sans Frontières, L’Obs and National Geographic have brought him recognition, but was his portrait of a grandmother, the radiant icon on the cover of his first book, 56 000 kilometers, which made a strong impression in 2011 when it was published. 

In May 2014, he launched upon a long journey from Paris in his van. After sixteen months of travelling, and with undying determination, the project resulted in a second book: Ashayer - nomads in Persian - in which Kares tells the story of his immersion in the tribal world. The photograph made his way from Iran to Afghanistan, mixing with the various remaining ethnic groups in the area, and immersing himself in their way of life. This book, published in early 2016, acts as a memorial depiction of a disappearing culture in the globalised world of the 21st century

Since Ashayer was published, Kares has worked independently and perseveringly to portray unknown worlds, and has been rewarded for his efforts. The press has published his photo-reportages (Libération, Paris Match, Les Inrocks…) and his photos are exhibited in a wide range of places. Galleries, reputable hotels, and famous museums like the Grand Palais in Paris or the Asian Arts Museum in Nice show his work. 

Now, after his almost obsessive work photographing Iran over several years, Kares unveils his collection of 200 photographs devoted to this former empire which is so often in the headlines of geopolitical news. Far removed from these issues, he has designed the book as more of a journey through a country of a thousand faces, a tribute to Iran and its people. He paints a sensitive picture of the most beautiful, noble and ingenious side of Humanity. Blending poetry and mythology, this book by photographer Kares Le Roy presents a series of portraits, scenes of everyday life and landscapes created over ten years, taking us to the farthest reaches of this vast country. It is a reminder that ancient Persia has progressed through the ages without losing its sparkle.

[Fr]
Kares Le Roy a passé ces dix dernières années à voyager en Asie. À pied, à cheval, à moto, à l’arrière d’un bus ou dans son véhicule, il a sillonné les lieux les plus isolés, photographié les peuples parmi les plus méconnus d’Orient. Il passe désormais plus de temps en Perse et en Asie centrale que dans son pays natal. Cette région est devenue son territoire de prédilection. À 38 ans, il a déjà à son actif des projets conséquents : trois livres, un film court et deux documentaires. Et, bien que des collaborations avec Médecins Sans Frontières, L’Obs ou le National Geographic lui aient apporté une certaine reconnaissance, c’est surtout le portrait d’une grand-mère, icône rayonnante de la couverture de son premier ouvrage 56 000 kilomètres, qui a marqué les esprits dès sa parution en 2011. 

En mai 2014, il s’engage à corps perdu dans un long voyage qu’il entreprend depuis Paris à bord de son van aménagé. Il faudra seize mois d’expédition et une volonté inébranlable pour que ce projet donne naissance à un deuxième livre : Ashayer - nomades en persan - dans lequel Kares raconte son immersion dans le monde tribal. Entre l’Iran et l’Afghanistan, le photographe, nomade à sa manière, s’est en effet mêlé aux différents groupes ethniques survivants dans ces régions en s’imprégnant totalement de leur mode de vie. Ce livre, sorti début 2016, se veut un tableau mémoriel d’une culture qui tend à se dissoudre dans le monde globalisé du XXIe siècle. 

Depuis la parution de Ashayer, sa démarche indépendante tout comme son obstination à montrer des univers inconnus ont été récompensés. La presse publie ses reportages (Libération, Paris Match, Les Inrocks…) et ses photographies s’exposent dans des lieux tout aussi différents les uns des autres. Des galeries, des hôtels renommés ainsi que de célèbres musées comme le Grand Palais à Paris ou celui des Arts Asiatiques à Nice présentent ses œuvres. 

Aujourd’hui, après un travail quasi obsessionnel de plusieurs années sur l’Iran, Kares dévoile son recueil de 200 photographies consacré à cet ancien empire souvent placé par les médias à la une de l’actualité géopolitique. Loin de toutes ces problématiques, il a imaginé ce livre plutôt comme un voyage dans un pays aux mille visages, un véritable hommage à l’Iran et à son peuple. Il témoigne avec sensibilité de ce que l’Humanité a pu faire de plus beau, de plus noble et de plus ingénieux à la fois. Entre poésie et mythologie, le photographe Kares Le Roy dresse dans cet ouvrage une série de portraits, de scènes de vie et de paysages qu’il est parti réaliser durant dix années jusqu’aux confins de ce vaste pays. Une manière de rappeler que l’ancienne Perse a su traverser les époques sans perdre de son éclat.

© Lucas De Abreu


French interview


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